Justice Égarée : Quand les Systèmes et l’Avidité Humaine se Confrontent

Justice Égarée : Quand les Systèmes et l’Avidité Humaine se Confrontent
Image générée par ChatGPT

La justice est un principe fondamental, philosophique, juridique et moral, qui définit les actions humaines selon des normes de mérite fondées sur la morale, le droit ou la vertu. Ce concept, censé être universel, semble pourtant échapper à de nombreuses civilisations lorsqu'il s’agit de l’égalité et de la dignité des peuples. La communauté noire, par exemple, a longtemps été privée de droits fondamentaux, une réalité qui persiste encore aujourd’hui dans certaines régions du monde. Malgré les progrès sociaux et législatifs, ce combat pour la dignité reste un rêve pour certains, en particulier aux États-Unis, où la discrimination systémique continue de jouer un rôle central dans la vie de nombreux citoyens noirs.

Depuis quelques années, le mouvement Black Lives Matter (BLM) milite pour les droits et libertés de la communauté noire, en réponse à l'injustice du système judiciaire américain. Né en 2013 après l’acquittement de George Zimmerman, responsable de la mort par balle de Trayvon Martin, BLM a permis de sensibiliser le grand public aux violences systémiques et aux discriminations que subit la communauté noire. Par son impact, ce mouvement a inspiré d’autres initiatives comme Me Too, la Women’s March et March for Our Lives. Cependant, le rôle de BLM et de ses fondatrices a suscité des critiques, notamment autour de la gestion des fonds, certaines accusations pointant des cas de corruption et de blanchiment d’argent. Ces allégations amènent à poser une question plus large : la nature de l’injustice est-elle imputable uniquement aux systèmes en place, ou bien à l’avidité humaine qui peut, elle aussi, saboter des causes justes ?

La discrimination systémique, au sens strict, repose sur un ensemble de lois, de politiques et de normes qui créent des disparités entre les groupes sociaux. La lenteur de la justice dans les affaires d’agression raciale, les inégalités dans les peines de prison et les taux élevés de mortalité parmi les minorités aux États-Unis en sont des exemples frappants. Toutefois, ces structures ne fonctionnent pas en vase clos ; elles sont entretenues, parfois même manipulées, par des individus au service de leurs propres intérêts. L’avidité humaine contribue ainsi à nourrir et perpétuer les systèmes d’injustice, car certains en profitent financièrement ou politiquement.

L’avidité humaine se manifeste de manière plus subtile mais tout aussi dévastatrice : détournements de fonds, corruptions internes, et intérêts politiques biaisent les actions de mouvements censés servir des causes nobles. Lorsque l’argent et le pouvoir entrent en jeu, il arrive que l’idéal de justice soit compromis, même par ceux qui en sont les porte-paroles. Ainsi, les accusations contre BLM ont créé une onde de choc, car elles mettent en lumière ce dilemme : comment faire confiance aux institutions, aux systèmes et même aux individus censés défendre la justice, quand l’avidité humaine peut les corrompre ?

Dans un contexte international, les injustices systémiques et l’avidité humaine convergent parfois en des situations tragiques. En 2023, les conflits à Gaza et au Liban illustrent des luttes pour la liberté et la dignité face à des structures de pouvoir complexes et des intérêts économiques ou stratégiques de puissances externes. Les questions se posent : les populations civiles sont-elles prises au piège d’un système d’injustice profondément enraciné, ou bien sont-elles des victimes indirectes de l’avidité humaine, où chaque acteur cherche à tirer profit de la situation ? Alors que les cris pour la justice résonnent dans le monde entier, la véritable question persiste : les structures seules sont-elles coupables, ou bien l’avidité humaine en est-elle le moteur silencieux ?

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